Ce que tu disais autrefois

Si j'ai trop grande faim, c'est d'avoir gardé le goût de l'aube, c'est d'ignorer les allégeance et ces amours mortes que l'on traîne, fardées, insignifiantes, morales. Je suis dans le ruisseau d'où sourdent les rats, et je vois passer d'élégantes fadeurs ivres d'ennui, entêtées de vide.

Commentaires

Articles les plus consultés