Non aux chiffres arabes dans nos budgets publics !

Poursuivons le grand œuvre purificateur

Après la grande victoire remportée le XXIX novembre dernier en Suisse par l'Occident chrétien contre l'envahisseur infidèle et ses minarets, il convient de poursuivre le combat purificateur : nous devons purger nos institutions publiques de toute influence néfaste, puisqu'étrangère. Nous en appelons à la mobilisation de toutes les forces saines de la nation pour que dès aujourd'hui se fasse entendre une première revendication fondamentale : interdire l'usage des chiffres arabes dans tous les documents publics de notre pays, qu'ils soient municipaux, cantonaux ou fédéraux, et en revenir à nos racines en n'utilisant plus désormais que la numérotation romaine dans les budgets et les comptes, les devis et les factures, les notifications d'impôts, les actes de poursuites, et tous documents officiels contenant des chiffres. Nous lançons un appel vibrant à toutes les élues et tous les élus municipaux, cantonaux et fédéraux de ce pays occidental et chrétien : Des initiatives parlementaires et populaires municipales, cantonales et fédérale, et des motions, résolutions, arrêtés et projets de loi, doivent être préparés dès maintenant, et déposés ou lancés le plus tôt possible. Les chiffres arabes hors de Suisse ! Rejoignez le groupe Facebook " Pour l'interdiction des chiffres arabes dans tous les documents publics "

Recours toujours
Un avocat genevois a annoncé son intention de faire recours auprès de la Cour européenne de Strasbourg contre l'insertion dans la Constitution fédérale, de l'interdiction de construire des minarets. Antoine Boesch a décidé d'agir sans attendre qu'une décision individuelle et concrète (le refus d'une autorisation de construire, par exemple), ait été prise, et que toutes les voies de recours nationales aient été épuisées (il n'y en a d'ailleurs pas en Suisse contre une décision populaire fédérale). L'avocat rappelle que l'interdiction des minarets est contraire à deux traités internationaux ratifiés par le Suisse : la Convention européenne des droits de l'Homme et le Pacte de l'ONU sur les droits civils et politiques. La Convention européenne est, dans le cas des minarets, la disposition la plus intéressante : elle est l'oeuvre d'un organisme, le Conseil de l'Europe, que la Suisse préside actuellement et qui dispose d'une institution pour faire respecter sa Convention : la Cour européenne, qu'il est possible de saisir sans attendre qu'une décision individuelle viole concrètement la Convention, par exemple sur le principe de l'interdiction de la discrimination religieuse. En attendant qu'un tribunal ou un vote populaire ait retiré de la Constitution fédérale la disposition imbécile qui y a été placéee par la Suisse profonde, on pourra s'amuser à répondre à d'intéressantes questions : si un groupe de musulmans édifie un pigeonnier ou une cheminée à côté d'une mosquée, les considérera-t-on comme des minarets ? Si une église chrétienne désaffectée est convertie en mosquée, son clocher devient-il un minaret ? Si une mosquée décide de s'équiper de projecteurs lasers pour dessiner un minaret virtuel aux heures de prières, considérera-t-on qu'elle a construit un minaret ? Si la mosquée de Genève décide de rehausser son minaret, ce rehaussement sera-t-il traité comme une " construction " ? On aurait donc tort de considérer l'interediction des minarets comme une mesure inutile, ou ridicule : elle va puissamment contribuer à maintenir l'emploi dans les cabinets d'avocats spécialisés en droit de la construction. Et en période de crise, autant que de surproduction de juristes, cet effet collatéral positif est à saluer.

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